Lapicop

LapiCop est une coopérative d’habitant·e·s en cours de construction située à Clapiers, à quelques mètres du futur terminus de la ligne de tramway 5.

Le projet est ancré autour de 4 valeurs : l’efficience énergétique et la prise en considération des enjeux environnementaux, l’inclusivité pour tous·te·s, la volonté de préserver un confort moderne et un vivre ensemble notamment définit par le respect des espaces privés de chacun.

Cinq foyers fondateurs comptant 8 adultes et 6 enfants ont créé collectivement une vision collective du projet à l’été 2025. La formalisation architecturale et financière du projet est prévue pour la fin de l’année 2025 dans le but de lancer la construction au plus vite.

 

Ce projet en cours de montage, rejoignez Florian et son équipe

1. à Clapiers très proche du terminus de la future ligne N°5 de tramway
2. Une coopérative inscrite dans son quartier sous forme de site
3. Un site Intrernet très complet vous invite à participer à la création de ce suberbe projet
4. Construction  très écologique dans un environnment naturel
5. Mais projet de la 4 voie RM65
6. Organise des programmations culturelles régulières
7. Matériaux biosourcés
8. Un espace jardin florissant, et le Lez à 2 pas
9. à suivre sur discord: lien discord

Avant nous, la garrigue cymbale.

Avec nous, les enfants lui répondent.

Notre utopie du logement s’inspire de la forme de la spirale comme modèle conceptuel. Il a pour unité de construction le module fractal dont la forme est répétée, agencée, orientée et disproportionnée. Tel un arbre, les espaces communs sont le tronc qui accueille les ramifications du lieu de vie.

Autour de ce lieu de partage, plusieurs bâtiments regroupent les logements qui permettent de mutualiser les ressources : un bâtiment est mutualisé pour plusieurs logements avec une buanderie partagée, des espaces de vie communs pour les enfants, pour les pratiques artistiques, sportives et de bien-être.

Aujourd’hui, nous pilotons le projet. Je rejoins les espaces communs. Au retour, j’emprunte la perceuse. Ce soir, nous organisons un concert. Les musiciens de la ville viennent. Je suis en charge de l’accueil.

Dans un esprit de symbiose végétal – humain – minéral qui s’inspire des formes et des caractéristiques techniques de l’environnement, notre projet s’élabore autour des contraintes climatiques et dans le sens du respect du vivant.

Maintenant, j’arrose notre jardin. J’allume l’éolienne qui active la pompe à eaux grises. Je cueille des framboises en regardant les enfants. Ils font du toboggan depuis le toit végétalisé. Nous l’avons aménagé à partir de la terre du terrain.

La forme arrondie d’où tout part et tout revient nous amène l’idée de relation entre les habitant·e·s eux-mêmes et leurs habitations, entre le fond et la forme. La forme devient courbe lorsque les habitant·e·s lui donnent vie dans l’espace et le temps. La figure est souriante.

Après nous, les enfants chanteront peut-être encore et la garrigue cymbalera toujours.